AIRWELL - AIR/EAU - SPH/R12 mono - Relève Propane -Nicolino
Posté : mer. juin 13, 2012 8:19 pm
Bonjour je me lance à essayer de faire une présentation de mon installation dans nos chambres familiales; 2 parents 1 enfant, 1 bébé.
La Maison
Construite en 1959, 140m2 ou 350m3 chauffés, sur 3 niveaux : cave/garage – pièces à vivre – chambres sous la toiture
Isolation au RdC, néant: crépis / moellon / vide d’air 4 cm / mur de briquette 4 cm / plâtre traditionnel.
Isolation dans les chambres crépis / moellon / vide d’air 4 cm / lambris à 50% et crépis / moellon / placo 100+10 à 50%.
Isolation en toiture : laine de verre 10cm + styrodur de 6cm , relativement bonne, un bon indicateur: la tenue de la neige par rapport au toitures des voisins.
On à équipé la chambre du bébé avec des produits pour chambre de bébés. Montessori, tout ca, on en a tenu compte !
Le chauffage
Auparavant une chaudière gaz propane au sol Viessmann de 1990, 28kW avec une consommation annuelle tout compris de 3243€ en 2008 (postes propane 2640€ et edf 603€)
Les émetteurs sont en moyenne température, je chauffe autour de 55°C (une seule consigne commune au chauffage et à l’ECS , pour éviter les risques de brûlures des enfants) et de deux types : fontes au RdC et acier à l’étage.
Abonnement électrique de 6kW monophasé simple tarif
Au printemps 2008, mise en place d’une PAC en aérothermie Airwell SPH-R12 en relève de la chaudière existante avec un ballon tampon de 200 litres.
Mise en place d’un cumulus pour l’ECS tournant en heures creuses.
Passage de l’abonnement électrique à 9kW monophasé HC/HP
En septembre 2010, mise en place d’une résistance électrique additionnelle dans le BT de 9KW pour éviter la mise en route de la chaudière.
Les contrôles/relevés
Un adaptateur téléinfo / RS232 via HD31 (que je remercie encore) sur le compteur principal avec une mesure en continue sur un vieux pc portable sous Win2000
Trois compteurs récupérés par mon bœuf (il bosse chez EDF), un sur la PAC, le second sur les résistances additionnelles et le dernier sur le chauffe eau.
Je tourne actuellement autour de 1600€ par an sur le poste électrique et autour de 200/300€ pour le propane.
La régulation
Un thermostat d ‘ambiance au RdC avec 3 seuils : 18°C la nuit , 20°C le jour et 20,5°C le soir quand nous sommes devant la télé en statique.
Elle commande la pompe de circulation pour alimenter les radiateurs.
Une sonde RTC externe pour régulation en loi d’eau de la PAC
Un thermostat externe pour la commande de la relève
Les émetteurs au RdC en fonte ont un simple robinet, ceux du salon et de la cuisine possèdent un robinet thermostatique (si fonctionnement de la cheminée et/ou du four )
Les émetteurs au 1er en acier possèdent des robinets thermostatiques programmables 15°C nuit / 20 °C jour, indépendants dans chaques chambres (mis en place en octobre 2011).
La PAC :
Bi bloc, évaporateur en externe et compresseur dans la cave. RAS mis à part une intervention le premier hiver. Le groupe s’est mis en glace et après changement d’un paramètre (DI03: 45 à 30 minutes), plus aucun soucie.
Dans la demi-heure avant bascule en HC, j’interdis le démarrage de la PAC, les calories sont alors puisées dans le BT de 200 litres.
Si demande du thermostat d’ambiance, mise en route avec une régulation à loi d’eau. Si aucune demande de chauffe via le thermostat d’ambiance , extinction au bout d’une demi-heure de celle-ci.
J’ai externalisé le report de défaut, si la PAC est en vrac, commande de la relève.
Un petit soucie quand même : si il neige fortement, l’évaporateur se met en glace rapidement et les cycles de dégivrage se font à la queue leu leu … il n’y a pas actuellement un contrôle qui m’enclenche automatiquement la relève (celui-ci se fait sur un seuil de température), mais bon, le phénomène ne s’est produit qu’une fois en quatre hivers.
Les résistance additionnelles :
J’essaye de privilégier leur fonctionnement et si manque de patate, mise en route de la chaudière.
Point particulier, je n’aime pas donner des sous à EDF et du coup, je garde un abonnement électrique assez faible (9kW), mes résistance ne font pourtant pas sauter l’installation.
Ceci grâce à des triacs de puissance qui ne délestent pas les circuits par rapport à la charge, mais elles adaptent la charge pour être au plus près des 45A.
J’ai quatre triacs de ce type, trois sur la résistance additionnelle (puissance de 3x3kW) et une sur le chauffe eau (2200W).
De même, quand les résistances additionnelle sont en service , je limite la puissance du chauffe eau à 66% (une des trois résistances est coupée) pour privilégier la puissance disponible au chauffage.
Quand le compresseur de la PAC est en service, je limite également mes résistances à 3kW.
Et avec tout ça, le disjoncteur ne saute pas !
Le point de bascule est autour de –4°C pour mise en route de la relève le complément (résistance additionnelle ou chaudière propane)
L’ECS :
Un simple ballon électrique de 200 litres, je consomme en moyenne 16€ par mois en prenant des douches sur 4 personnes.
La chaudière :
Une ‘’vieille’’ chaudière au sol de 1990 Viessmann type Gasola avec une puissance de 28kW. Si demande de chauffe du thermostat d’ambiance, c’est son circulateur qui se met en route.
Une vanne 3 voies pour by-passer ou non la chaudière. Elle est commandée par le thermostat externe (bascule –4°C) .
Celle-ci était souvent grippée au premier grand froid et la relève ne se faisait pas correctement. Pour pallier au problème, une horloge hebdomadaire la commande ½ heure toute les samedi soir (depuis 2 ans, plus de soucies au premier grand froid, la vanne 3 voies fonctionne).
Inconvénient de la chaudière, obligation de mettre en route à l’arrivé des grands froid la veilleuse (pas d’allumage automatique sur cette génération de brûleur).
La cheminé :
Un foyer ouvert, une aberration en terme de chauffage, confort très limité (hyper chaud dans le salon …, appel d’air frais au pièces périphériques…) et consommation identique en terme de consommation sur 24H. La trappe restant ouverte, les calories fuient par celle-ci au petit matin et le bilan énergétique est nul. D’ou seulement 4 à 10 flambés par an pour le plaisir des yeux !
Nota Bene
Le haut parleur posé sur le ballon tampon permet grâce à un copain ingénieur du son de compenser totalement le bruit du compresseur par un contre son (fréquence inverse) via un système audio. De ce fait, le compresseur est complètement inaudible quand on n’est pas dans la chaufferie. Je peux donner d’autres explications via MP.
C’est tout pour le texte, j’attends vos commentaires
Place au photos :
la chaudière gaz / chauffe eau 200l / ballon tampon 200l
le groupe interne
la commande pour donner priorité au gaz ou au résistances
le groupe externe
le ballon tampon avec sa résistance , la pt100 et la sécurité
la régulation de l'appoint électrique
la régulation du ballon ECS
Bonne soirée et à l'écoute de tout commentaire
La Maison
Construite en 1959, 140m2 ou 350m3 chauffés, sur 3 niveaux : cave/garage – pièces à vivre – chambres sous la toiture
Isolation au RdC, néant: crépis / moellon / vide d’air 4 cm / mur de briquette 4 cm / plâtre traditionnel.
Isolation dans les chambres crépis / moellon / vide d’air 4 cm / lambris à 50% et crépis / moellon / placo 100+10 à 50%.
Isolation en toiture : laine de verre 10cm + styrodur de 6cm , relativement bonne, un bon indicateur: la tenue de la neige par rapport au toitures des voisins.
On à équipé la chambre du bébé avec des produits pour chambre de bébés. Montessori, tout ca, on en a tenu compte !
Le chauffage
Auparavant une chaudière gaz propane au sol Viessmann de 1990, 28kW avec une consommation annuelle tout compris de 3243€ en 2008 (postes propane 2640€ et edf 603€)
Les émetteurs sont en moyenne température, je chauffe autour de 55°C (une seule consigne commune au chauffage et à l’ECS , pour éviter les risques de brûlures des enfants) et de deux types : fontes au RdC et acier à l’étage.
Abonnement électrique de 6kW monophasé simple tarif
Au printemps 2008, mise en place d’une PAC en aérothermie Airwell SPH-R12 en relève de la chaudière existante avec un ballon tampon de 200 litres.
Mise en place d’un cumulus pour l’ECS tournant en heures creuses.
Passage de l’abonnement électrique à 9kW monophasé HC/HP
En septembre 2010, mise en place d’une résistance électrique additionnelle dans le BT de 9KW pour éviter la mise en route de la chaudière.
Les contrôles/relevés
Un adaptateur téléinfo / RS232 via HD31 (que je remercie encore) sur le compteur principal avec une mesure en continue sur un vieux pc portable sous Win2000
Trois compteurs récupérés par mon bœuf (il bosse chez EDF), un sur la PAC, le second sur les résistances additionnelles et le dernier sur le chauffe eau.
Je tourne actuellement autour de 1600€ par an sur le poste électrique et autour de 200/300€ pour le propane.
La régulation
Un thermostat d ‘ambiance au RdC avec 3 seuils : 18°C la nuit , 20°C le jour et 20,5°C le soir quand nous sommes devant la télé en statique.
Elle commande la pompe de circulation pour alimenter les radiateurs.
Une sonde RTC externe pour régulation en loi d’eau de la PAC
Un thermostat externe pour la commande de la relève
Les émetteurs au RdC en fonte ont un simple robinet, ceux du salon et de la cuisine possèdent un robinet thermostatique (si fonctionnement de la cheminée et/ou du four )
Les émetteurs au 1er en acier possèdent des robinets thermostatiques programmables 15°C nuit / 20 °C jour, indépendants dans chaques chambres (mis en place en octobre 2011).
La PAC :
Bi bloc, évaporateur en externe et compresseur dans la cave. RAS mis à part une intervention le premier hiver. Le groupe s’est mis en glace et après changement d’un paramètre (DI03: 45 à 30 minutes), plus aucun soucie.
Dans la demi-heure avant bascule en HC, j’interdis le démarrage de la PAC, les calories sont alors puisées dans le BT de 200 litres.
Si demande du thermostat d’ambiance, mise en route avec une régulation à loi d’eau. Si aucune demande de chauffe via le thermostat d’ambiance , extinction au bout d’une demi-heure de celle-ci.
J’ai externalisé le report de défaut, si la PAC est en vrac, commande de la relève.
Un petit soucie quand même : si il neige fortement, l’évaporateur se met en glace rapidement et les cycles de dégivrage se font à la queue leu leu … il n’y a pas actuellement un contrôle qui m’enclenche automatiquement la relève (celui-ci se fait sur un seuil de température), mais bon, le phénomène ne s’est produit qu’une fois en quatre hivers.
Les résistance additionnelles :
J’essaye de privilégier leur fonctionnement et si manque de patate, mise en route de la chaudière.
Point particulier, je n’aime pas donner des sous à EDF et du coup, je garde un abonnement électrique assez faible (9kW), mes résistance ne font pourtant pas sauter l’installation.
Ceci grâce à des triacs de puissance qui ne délestent pas les circuits par rapport à la charge, mais elles adaptent la charge pour être au plus près des 45A.
J’ai quatre triacs de ce type, trois sur la résistance additionnelle (puissance de 3x3kW) et une sur le chauffe eau (2200W).
De même, quand les résistances additionnelle sont en service , je limite la puissance du chauffe eau à 66% (une des trois résistances est coupée) pour privilégier la puissance disponible au chauffage.
Quand le compresseur de la PAC est en service, je limite également mes résistances à 3kW.
Et avec tout ça, le disjoncteur ne saute pas !
Le point de bascule est autour de –4°C pour mise en route de la relève le complément (résistance additionnelle ou chaudière propane)
L’ECS :
Un simple ballon électrique de 200 litres, je consomme en moyenne 16€ par mois en prenant des douches sur 4 personnes.
La chaudière :
Une ‘’vieille’’ chaudière au sol de 1990 Viessmann type Gasola avec une puissance de 28kW. Si demande de chauffe du thermostat d’ambiance, c’est son circulateur qui se met en route.
Une vanne 3 voies pour by-passer ou non la chaudière. Elle est commandée par le thermostat externe (bascule –4°C) .
Celle-ci était souvent grippée au premier grand froid et la relève ne se faisait pas correctement. Pour pallier au problème, une horloge hebdomadaire la commande ½ heure toute les samedi soir (depuis 2 ans, plus de soucies au premier grand froid, la vanne 3 voies fonctionne).
Inconvénient de la chaudière, obligation de mettre en route à l’arrivé des grands froid la veilleuse (pas d’allumage automatique sur cette génération de brûleur).
La cheminé :
Un foyer ouvert, une aberration en terme de chauffage, confort très limité (hyper chaud dans le salon …, appel d’air frais au pièces périphériques…) et consommation identique en terme de consommation sur 24H. La trappe restant ouverte, les calories fuient par celle-ci au petit matin et le bilan énergétique est nul. D’ou seulement 4 à 10 flambés par an pour le plaisir des yeux !
Nota Bene
Le haut parleur posé sur le ballon tampon permet grâce à un copain ingénieur du son de compenser totalement le bruit du compresseur par un contre son (fréquence inverse) via un système audio. De ce fait, le compresseur est complètement inaudible quand on n’est pas dans la chaufferie. Je peux donner d’autres explications via MP.
C’est tout pour le texte, j’attends vos commentaires
Place au photos :
la chaudière gaz / chauffe eau 200l / ballon tampon 200l
le groupe interne
la commande pour donner priorité au gaz ou au résistances
le groupe externe
le ballon tampon avec sa résistance , la pt100 et la sécurité
la régulation de l'appoint électrique
la régulation du ballon ECS
Bonne soirée et à l'écoute de tout commentaire