Bonjour à toutes et à tous.
Je vous présente ma nouvelle activité de conseil.
L'utilisation optimale du rayonnement solaire et de la chaleur de la terre.
Calcul de champs de sondes géothermiques verticales.
Conseil sur la stratégie de "recharge thermique" des champs de sondes avec des capteurs solaires, des rejets thermiques industriels, ...
Interventions en pré-étude / étude / suivi de chantier, suivi d'installation.
Je n'ai pas encore de site internet mais un dépliant (dispo en pdf) que je peux envoyer et, si on m'explique, mettre en ligne sur le site (270 kO).
Hélio Géo Thermie
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Bonjour JPdesm,
tu peux me l'envoyer par mail, je le mettrais en ligne.
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Re: Hélio Géo Thermie
Tres interessant, cette possibilité de recharge solaire, et surtout cette presentation scientifique bien cadrée.jpdesm a écrit :Bonjour à toutes et à tous.
Je vous présente ma nouvelle activité de conseil.
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Conseil sur la stratégie de "recharge thermique" des champs de sondes avec des capteurs solaires, des rejets thermiques industriels, ...
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Je n'ai pas encore de site internet mais un dépliant (dispo en pdf) que je peux envoyer et, si on m'explique, mettre en ligne sur le site (270 kO).
Cependant... Point que vous évoquez d'ailleur dans votre didactique dépliant, les pertes de réchauffement (par conduction thermique du sol, mais surtout par transport de l'energie via les mouvement de l'eau souterraine type nappe phréatique) : comment les calculez vous ?
Sur des forages quelque peu importants, il est rare de ne pas tomber assez rapidement sur une nappe phréatique, laquelle est tres rarement immobile, donc tranfert de l'energie l'origine solaire loins du capteur (mais perfs excellentes, même sans le solaire), bref, souvent le taux de recharge doit etre presque nul à cause du transport de la chaleur (solaire) hors de la zone de captage par la nappe phréatique.
-
Amicalement,
François
Double PAC O/O Nibe
http://www.chaleurterre.com/wiki/doku.p ... phreatique
Bureau d’Étude spécialisé dans la rénovation chauffage des grandes demeures.
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François
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Mouvements de nappe
Effectivement, si on tombe sur une nappe phréatique, et le plus souvent elles ont le bon (ou mauvais) goût de se déplacer, il est vain d'espérer recharger un champ de sondes. Cela dit :
1 - Si on est vraiment sur une nappe à grande extension en hauteur, qui intéresse donc une partie importante des sondes verticales, on peut "tirer" plus de 50 w/m de sonde, car a) la résistance sonde-terrain est faible, b) le froid produit par les sondes est évacué hors du champ de sondes.
2 - Si on est sur une nappe de faible extension en hauteur, on peut se dire qu'au dessus et au dessous le sol fonctionne normalement (donc stocke), et au niveau de la nappe en environs on a un fonctionnement dégradé. De toute manière, les deux effets (recharge thermique / nappe) vont dans le même sens : possibilité de raccourcir les sondes et d'avoir des puissances linéiques supérieures.
Le souci est plutôt de bien identifier la présence d'une nappe au forage. Donc si on est parti pour faire un champ "calculé au plus juste" dans une hypothèse "recharge", je crois qu'il vaut mieux faire un forage à sec (remontée des cuttings par air comprimé) qu'à la boue. Sur un champ important, le TRT (test de réponse thermique) sur un forage témoin me parait indispensable. Ses résultats intègreront la présence d'une nappe s'il y en a une.
1 - Si on est vraiment sur une nappe à grande extension en hauteur, qui intéresse donc une partie importante des sondes verticales, on peut "tirer" plus de 50 w/m de sonde, car a) la résistance sonde-terrain est faible, b) le froid produit par les sondes est évacué hors du champ de sondes.
2 - Si on est sur une nappe de faible extension en hauteur, on peut se dire qu'au dessus et au dessous le sol fonctionne normalement (donc stocke), et au niveau de la nappe en environs on a un fonctionnement dégradé. De toute manière, les deux effets (recharge thermique / nappe) vont dans le même sens : possibilité de raccourcir les sondes et d'avoir des puissances linéiques supérieures.
Le souci est plutôt de bien identifier la présence d'une nappe au forage. Donc si on est parti pour faire un champ "calculé au plus juste" dans une hypothèse "recharge", je crois qu'il vaut mieux faire un forage à sec (remontée des cuttings par air comprimé) qu'à la boue. Sur un champ important, le TRT (test de réponse thermique) sur un forage témoin me parait indispensable. Ses résultats intègreront la présence d'une nappe s'il y en a une.